Cette histoire un peu débile a commencé ici.
ZE ENDE OF ZE HISTOIRE
Le titre de ma planche est une réfférence à ce bouquin qui m'avait fait rêver (et un peu flipper, je dois avouer) en primaire. Si vous êtes de la même génération que moi (ou plus jeunes) vous l'avez peut-être lu aussi , c'est un grand classique des 90. On pourrait monter le club de tous ceux qui ont été traumatisés par la mariée de la mer .
ZE ENDE OF ZE HISTOIRE
Le titre de ma planche est une réfférence à ce bouquin qui m'avait fait rêver (et un peu flipper, je dois avouer) en primaire. Si vous êtes de la même génération que moi (ou plus jeunes) vous l'avez peut-être lu aussi , c'est un grand classique des 90. On pourrait monter le club de tous ceux qui ont été traumatisés par la mariée de la mer .
Hé oui, ça remonte à loin mon trip sur les fantômes.
4 commentaires:
Cette fois, ce sont les plombs qui ont sauté ? ;)
Au fait, je voulais te dire que ta nouvelle version du blog est beaucoup plus facile à consulter que l'ancienne. Beau travail !
Non, juste l'ampoule ! ;)
Merci.
C'est drôle comme la conjonction d'éléments banals peut nous foutre (plus ou moins) la trouille.
Tu n'aurais pas regardé au début cette émission sur le paranormal, tu aurais trouvé ces deux événements insignifiants.
Voilà, c'est ça le truc.
Ces émissions sont faites pour manipuler psychologiquement le spectateur, le mettre dans un certain état de tension et décupler son imagination, et ce, sans qu'il en ai forcément conscience.
Comment manipule-ton les gens? En leur faisant peur, et comment leur fait-on peur, en les focalisant sur des détails réels (qu'ils n'auraient pas remarqué autrement) et en faisant de ces détais des ennemis. Une porte qui grince devient un poltergeist, une odeur de brûlé devient le diable et ainsi de suite, et ça marche jusqu'a ce qu'on prenne du recul et qu'on se dise "je me suis fait avoir comme un con".
Après les gens ont un imaginaire plus ou moins développé, l'efficacité est donc différente d'un sujet à l'autre mais c'est quand même génial comme processus, faut reconnaitre !
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